Conçu d’abord pour le long-terme, ce produit d’épargne présente de nombreux avantages tels qu’une fiscalité allégée et une transmission du capital sécurisée. Elle pourra être versée à son bénéficiaire sous forme d’une rente mensuelle ou trimestrielle.
Le souscripteur est libre de disposer des sommes investies quand il le veut. On parle dans ce cas de rachat. Celui-ci peut se faire sur la totalité, une partie, ou via une avance, qu’il conviendra de rembourser.
Les frais d’entrée (pourcentage lié à l’établissement du contrat) seront retranchés de la somme totale recouvrée.
Deux conditions sont cependant nécessaires à ce rachat :
1. Le contrat prévoit cette possibilité. C’est le cas de la majorité des produits qui portent le nom « d’assurance vie ».
2. Le bénéficiaire désigné dans le contrat par le souscripteur mentionne par écrit qu’il n’accepte pas le bénéfice du contrat et qu’il autorise le souscripteur à effectuer ce rachat.
À noter : 2018 a été une année exceptionnelle pour l’assurance vie avec une collecte de 22,4 milliards d'euros sur un encours total de 632 milliards d’euros