Ce contrat étant souscrit pour une période limitée dans le temps (d’où le qualificatif « temporaire »), les cotisations sont investies « à fonds perdus » si le risque ne se réalise pas. En d’autres termes, si le souscripteur est encore en vie à l’échéance du contrat, les primes versées ne lui seront pas remboursées. Celles-ci bénéficieront à l’ensemble des assurés, selon le principe de mutualisation.
L’intérêt de cette formule est néanmoins de pouvoir couvrir un capital important, à partir d’une contribution relativement faible. Deux types de garanties temporaires courantes : l’assurance emprunteur, qui peut être exigée dans le cadre d’un emprunt immobilier, ou la rente éducation, destinée à financer les études de ses enfants jusqu’à leurs 25 ans.